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Live At Home With His Bad Self (2019 Mix) | James Brown

today29 mars 2025 4 13 5

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🎤 James Brown – Live At Home With His Bad Self (2019 Mix) : Le funk brut, vivant et révolutionnaire 🎤

Sorti le 25 octobre 2019, l’album Live At Home With His Bad Self est bien plus qu’un simple enregistrement live.

C’est un document historique, une célébration du génie brut de James Brown, capté lors d’un concert mythique en 1969 à Augusta, Géorgie, sa ville natale.

Remixé et remasterisé avec soin pour une sortie officielle en 2019, ce live offre une immersion totale dans la puissance scénique du Godfather of Soul, au sommet de sa créativité et de sa rage de vivre.

C’est le James Brown militant, explosif, virtuose, entouré de son band légendaire, livrant un show qui défie les époques.


🔥 Une performance engagée, dansante et furieusement humaine

Le concert de 1969 devait initialement sortir cette même année, mais l’album avait été annulé par Brown lui-même pour privilégier la sortie de Sex Machine.

En 2019, 50 ans plus tard, ce moment ressuscite enfin dans toute sa force avec une qualité audio exceptionnelle et un mix fidèle à l’énergie d’origine.

C’est une capsule temporelle rare : une rencontre entre la musique, la scène et l’histoire politique afro-américaine, où James Brown combine funk, soul et message social sans jamais perdre le groove.


🎼 Tracklist commentée : au cœur du show d’un maître

🗣️ “Say It Loud – I’m Black and I’m Proud” – 5:06

Un cri de ralliement et un classique intemporel.

En version live, la tension est palpable, le public est en transe, et Brown porte la voix d’une communauté. Plus qu’un hit : un manifeste.

🎙️ “James Brown Thanks and Introduction To World” – 2:18

Un moment de connexion sincère avec le public. Brown s’adresse à son monde, à sa ville. Une introduction émotive et pleine d’humilité.

🌍 “World” – 3:28

Un titre engagé, subtilement soul, dans lequel Brown exprime son espoir pour une humanité meilleure.

🥁 “Lowdown Popcorn” – 6:51

Pur groove instrumental, ce morceau est funky à souhait, laissant la place aux musiciens pour s’exprimer. Un moment de virtuosité brute.

🎺 “Spinning Wheel” – 4:47

Reprise du groupe Blood, Sweat & Tears, ce morceau surprend par sa fluidité jazzy-funk, adaptée à la sauce James Brown.

👑 “If I Ruled the World” – 4:02

Un morceau où Brown rêve d’un monde différent, avec émotion et grandeur d’âme.

🎷 “Kansas City” – 4:01

Le funk rencontre le R&B old school. Une relecture pleine de panache d’un standard.

🚪 “I Don’t Want Nobody To Give Me Nothing (Open Up The Door, I’ll Get It Myself)” – 4:08

Un titre majeur de son répertoire militant. James Brown ne demande pas la charité : il exige l’accès à l’autonomie.

🌀 “I Got the Feelin’ / Licking Stick-Licking Stick” – 2:24

Un medley explosif qui montre toute la science rythmique et vocale de Brown.

💘 “Try Me” – 2:39

L’un de ses titres les plus tendres, chanté avec une émotion nue, dans un silence respectueux du public.

“There Was a Time” – 7:04

Un funk lancinant, profond, avec des envolées vocales à couper le souffle.

💥 “Give It Up Or Turnit a Loose” – 4:51

Une performance incendiaire, où la voix de Brown claque comme un fouet au rythme d’une basse survoltée.

🌍 “It’s a Man’s Man’s Man’s World” – 3:42

Sans doute le moment le plus intense émotionnellement, avec un orchestre réduit et un chant déchirant.

🙏 “Please, Please, Please” – 2:21

James Brown implore, prie, pleure, dans une version live déchirante de ce classique de la soul.

“I Can’t Stand Myself (When You Touch Me)” – 1:24

Court mais fulgurant. Le groove est brut, animal, sensuel.

🕺 “Mother Popcorn” – 9:04

Un des morceaux les plus funk de tout le set. Brown danse, scande, électrise. Le public est en feu.


💣 Un album essentiel pour comprendre James Brown et le funk live

Cet album est une véritable masterclass de performance live.

James Brown ne chante pas, il incarne chaque mot, chaque note. Sa présence scénique, son contrôle du rythme, son interaction avec le public sont à la fois intimes et monumentales.

Il faut écouter Live At Home With His Bad Self pour saisir à quel point le funk est politique, physique et spirituel à la fois.

Ce n’est pas seulement de la musique à danser : c’est un cri, un rituel, une libération.


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